Une comédie policière, où on rit et flingue, signée Sylvain Gillet
Extrait :
“Pour Antoine Aria, vieux tragédien au chômage, jouer la carotte dans une publicité alimentaire est indigne de lui. Alors, quand on lui propose d’interpréter un ancien chef mafieux pour un cachet à nombreux zéros, il n’hésite pas…” Le pitch du nouveau livre de Sylvain Gillet, publié chez Ramsay, offre une savoureuse et joyeuse parenthèse dans ce monde de brutes. A lire sans modération.
Sylvain Gillet, pouvez-vous nous parler de votre nouveau livre ?
« Commedia Nostra » est mon deuxième roman. Il est donc publié chez Ramsay. Mon premier, « Ludivine comme Édith » est paru en 2018 aux éditions Thot.
Un genre, une histoire, un style, une couverture ?
Pour le genre, je parle de « comédie policière ». Il ne s’agit pas d’une enquête en particulier, mais on y flingue beaucoup et y rit encore plus. Les rebondissements sont nombreux et on ne sait jamais qui dupe qui. Un vieux comédien est embauché pour sa ressemblance par la branche française d’une famille mafieuse afin de jouer le rôle du parrain récemment disparu. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu. J’y ai beaucoup travaillé l’originalité des scènes ainsi que, comme j’en ai l’habitude, l’inventivité du style, capital pour moi. Quant à la couverture, oui, il y en a une. Avec l’éditeur, nous avons même songé à relier les pages entre elles, dans l’ordre, afin que le lecteur ne les égare pas un peu partout.
Remarquable initiative ! Afin de mieux vous connaître, pourriez-vous vous présenter rapidement : qui est Sylvain Gillet ? Un romancier, un animal indéterminé, un concept ?
Je ne sais pas vraiment. Ce que l’on m’a dit et que je peux répéter ici sans craindre de trop me tromper, c’est que je suis né en 1968 à Reims. Après des études de comptable qui m’ont enseigné les bases de l’humour, j’ai entamé une carrière de comédien au vu de laquelle Robert De Niro n’avait plus qu’à trembler. J’ai ensuite et parallèlement entamé une carrière de scénariste/réalisateur au vu de laquelle Steven Spielberg n’avait plus qu’à trembler. J’ai donc écrit du théâtre, de la poésie et des scénarios. Depuis deux ans j’entame donc une carrière de romancier au vu de laquelle Stephen King n’a plus qu’à trembler. Mais ce qui est important pour moi, c’est de… Pour conclure, si vous êtes intéressé par la chose, vous pouvez aller mon site sylvain-gillet.fr.
Une question sur le confinement, la Covid peut-être… ?
Non.
J’ai entendu dire que vous n’allez pas manquer de virevolter un peu partout dans la région…
En effet, d’une façon générale, je virevolte énormément. Et pas que dans notre belle région. De dédicace en dédicace, je virevolte également en région parisienne, en Champagne, Bourgogne, en fait partout où je puis virevolter. Je dédicace dans les salons du Livre bien-sûr, mais également en librairies, dans les Espaces Culturels Leclerc et magasins Cultura. Je tiens d’ailleurs à préciser ici qu’à ces occasions, le lecteur peut choisir la couleur de sa dédicace ; concept révolutionnaire auquel personne n’avait jamais songé, même à la NASA.
On peut suivre votre actualité sur votre site donc, mais aussi sur Facebook et Instagram.
C’est ainsi.
Pour conclure, un dernier mot ?
Chou-fleur.